Le rêve est devenu réalité à Djolu. En effet sous l'initiative de l'ONG CDIB, le territoire de Djolu vient de se doter d'un émetteur FM. Il faut noter que c'est la MONUC section MBANDAKA qui a acheté cet équipement. La radio a été honoré lors de son inauguration qui a eu lieu le Dimanche 26 octobre 2008 d'une forte délégation du Gouvernement provincial conduite par le Vice Gouverneur son Excellence Monsieur Jean Claude BAENDE, l'honorable deputé provincial André BOFOLA, le representant provincial de la sécurité, le chef de Division Provinciale de communication Mr. Joseph LOLOMBO, et Monsieur Constat BESAU.
27/10/08
Radio BOLOMBO
Le rêve est devenu réalité à Djolu. En effet sous l'initiative de l'ONG CDIB, le territoire de Djolu vient de se doter d'un émetteur FM. Il faut noter que c'est la MONUC section MBANDAKA qui a acheté cet équipement. La radio a été honoré lors de son inauguration qui a eu lieu le Dimanche 26 octobre 2008 d'une forte délégation du Gouvernement provincial conduite par le Vice Gouverneur son Excellence Monsieur Jean Claude BAENDE, l'honorable deputé provincial André BOFOLA, le representant provincial de la sécurité, le chef de Division Provinciale de communication Mr. Joseph LOLOMBO, et Monsieur Constat BESAU.
03/07/08
NOTIZIA MISNA Monkey pox nella Tshuapa
Leggi Misna
18/06/08
IL SISTEMA SANITARIO A DJOLU E I FINANZIAMENTI DELLA BANCA MONDIALE

Per non arrendersi alla disperazione il Medico Chef de Zone di Djolu, Dottor Apollinaire KILUNDU spende le sue energie per spiegare la situazione attuale a tutti quelli che incontra a Djolu o altrove, come mostra la foto in basso dove lo vediamo parlare con i rappresentanti di una delegazione tedesca, coordinata da Roger BOKETSU, presidente di CDIB.

In basso gli scaffali del deposito centrale di Djolu, in cui si trovano solo preservativi ... e dei preservativi ci occuperemo in un prossimo post


per approfondire "la questione" Coopi alcuni link:
RADIO OKAPI
ALLAFRICA
RELAZIONE ATTIVITA' COOPI (punto 51)
UN DIGNE FILS DE DJOLU
17/06/08
ATTIVITA' ECONOMICHE IN RIPRESA A DJOLU
Sono stati effettuati due viaggi: KINSAHA - DJOLU/LOKELENGE - KINSHASA con una consumazione media di benzina per l'andata e il ritorno di 85 fusti a viaggio (200 litri a fusto).
Qui in basso la baleniera nel porto di LOKELENGE e il Signor LOKULI, che merita molte felicitazioni e incoraggiamento.
14/06/08
LA SANTE A DJOLU

Depuis le désengagement de MSF-B en Décembre 2005 , l'appui de la Banque Mondiale via COOPI se fait toujours attendre et on commence à douter de la réalisation effective des activités sur terrain. Selon les informations à notre possession, les fonds de la Banque mondiale ont été débloques depuis l'année 2007 et jusqu'à présent seul COOPI avec son personnel bénéficient au détriment de la pauvre population au non de qui la Banque Mondiale à débloquer les fonds. Pour ne pas se plonger dans le désespoir le Médecin Chef de Zone de Djolu, Docteur Apollinaire KILUNDU essaye de plaidoyer auprès de tout ce qu'il rencontre à Djolu ou ailleurs afin de les présenter la situation réelle du terrain comme la photo ci dessous montre (lors de la visite d'une délégation Allemande conduite à Djolu par Mr. Roger BOKETSU, président de CDIB)

A quel niveau la situation de la Banque Mondiale avec COOPI est bloquée ? C'est peut être Dieu seul qui a la réponse. Depuis 2006 plusieurs équipes de COOPI font des descentes sur terrain pour des soit disant mission explo et des longues discutions avec les Médecins chef de zone pour se mettre d'accord sur la convention, mais jusqu'à présent aucun comprimé de la Banque Mondiale n'a atterri aux différents dépôt des Bureaux centraux de District de la Ts
huapa.
Ci dessous les étagères vides du dépôt central de Djolu dont le seul les préservatifs occupent des places, .... nous reviendront avec les preservatifs


30/05/08
Riabilitazione delle infrastrutture viarie
Attualmente si può circolare in automobile senza grandi problemi all'interno del Territorio di Djolu.
Certo questi lavori rischiano di essere vanificati dallo stato di degrado avanzato che caratterizza ancora ponti e strade dei territori che circondano Djolu: BEFALE, YAHUMA, BONGANDANGA, BOKUNGU e IKELA. Dato che per raggiungere da Djolu i grandi centri BOENDE, KISANGANI, BASANKUSU… è necessario attraversare questi Territori.
La speranza è che gli AT dei Territori vicini imitino l'esempio di Djolu che senza grandi mezzi è riuscita a realizzare alcuni interventi di riabilitazione delle infrastrutture come le foto seguenti mostrano.
27/05/08
La Réhabilitation des Infrastructures routières de Djolu
Mais, ces travaux risquent d’être annulés par l’état de dégradation très avancé des routes et ponts des Territoires qui entourent Djolu (comme si l'État n'existe pas dans ces Territoires) à savoir : BEFALE, YAHUMA, BONGANDANGA, BOKUNGU et IKELA. S’il faut sortir de Djolu par route vers les grands centres (BOENDE, KISANGANI, BASANKUSU,…) on doit traverser ces territoires.
Nous invitons nos voisins d’imiter l’exemple de Djolu qui n’a pas des moyens spéciaux pour réaliser les travaux de réhabilitation des infrastructures.
La Réhabilitation des Infrastructures routières de Djolu
Dans le cadre de la reconstruction de notre Pays après plusieurs années de guerre, le Territoire de Djolu n’est pas resté indifférent à ce mot d’ordre qui est d’ailleurs surnommé par l’actuel Administrateur de Territoire de Djolu « DJOLU MIROIR ». C’est à ce titre que les travaux de réhabilitation des infrastructures routières de Djolu ont commencé depuis l’année passée et se poursuit normalement à la satisfaction de la population (comme les photos ci - dessous montrent). Actuellement on peut circuler sans problème dans toute l'étendue de Territoire de Djolu par véhicule.
Mais, ces travaux risquent d’être annuler par l’état de dégradation très avancé des routes et ponts des territoires qui entourent Djolu (comme si l'État n'existe pas dans ces Territoires) à savoir : BEFALE, YAHUMA, BONGANDANGA, BOKUNGU et IKELA. S’il faut sortir de par route pour les grands centres (BOENDE, KISANGANI, BASANKUSU,…) vous devez traverser ces territoires.
Nous invitons nos voisins d’imiter l’exemple de Djolu qui n’a pas des moyens spéciaux pour réaliser les travaux de réhabilitation des infrastructures.
08/05/08
L'AMMINISTRAZIONE PUBBLICA IN CONGO
Cosi che a Djolu solo l'Amministratore del Territorio e i suoi assistenti: segretario e capo ufficio avevano una sede fisica per il loro Ufficio. Per gli altri amministratori pubblici funzionava il così detto "ufficio portatile", cioè quando si incontrava il funzionario, che fosse per strada, al mercato o al bar, gli si esponeva il problema e si sbrigava la pratica sul momento, per scrivania la schiena dell'utente o le ginocchia del funzionario...
L'attuale Amministratore del Territorio di Djolu Monsieur Bonny AWAZI IMILI ha fatto ristrutturare uno dei vecchi edifici coloniali, vi trovano ora posto undici uffici per dodici reparti amministrativi, una sala d'aspetto, un magazzino del reparto "Lavori pubblici e Infrastrutture" e una sala riunioni. Questo lavoro di ristrutturazione è stato realizzato senza aiuti finanziari esterni.
Presto anche l’Education Nationale (ufficio decentrato del ministero dell'Istruzione) avrà un suo ufficio, la costruzione è già stata realizzata manca solo la copertura.
C'è la speranza che con questa nuova organizzazione l'amministrazione pubblica di Djolu inizi a lavorare realmente per il ben essere della popolazione.
Felicitazioni all'Amministatore del territorio e al Responsabile dell'Education Nationale di Djolu Monsieur Louis Gérard LOKESA che dimostrano che con un po' di buona volontà si possono fare grandi cose. Non è che un inizio, noi li incoraggiamo ad impegnarsi ancora nella speranza che i rispettivi responsabili nazionali li sostengano nel loro operato.

L'ADMINISTRATION PUBLIQUE A DJOLU
Concernant le Territoire de Djolu, les maisons qu’avaient laissées les colonisateurs, bien que le Territoire de Djolu n’a pas connu des grandes constructions, les quelques structures ou maisons restées ne faisaient que disparaitre progressivement : il s’agit de la résidence de l’ex. Commandant de la Gendarmerie, le Bureau de l’opérateur T.S.F et son habitation, la maison d’habitation du vétérinaire de Territoire, le Bureau des Forces Armées Congolaise, la résidence du Chef de Poste de l’Agence National de Renseignements et les maisons d’habitation des policiers.
L’Administration publique à Djolu en dehors de l’Administrateur de Territoire, ses Assistants, le secrétariat et le chef de Bureau qui avaient les Bureaux les autres services de l’Etat avaient les bureaux portatifs c'est-à-dire où que tu les rencontres le chef de service va te donner tout ce que tu as besoin (documents,…) s’il faut payer tu le fait sur place (même si vous vous rencontré au cours de route, dans un débit de boisson, dans le marché,…) tout va se conclure là-bas, la table c’est le dos du client ou le genou de chef de service
L’actuel Administrateur de Territoire de Djolu, Monsieur Bonny AWAZI IMILI a réhabilité un bâtiment laissé par les colons qui abrite désormais 11 Bureaux dont 12 Services, une salle d’attente, un dépôt pour les Travaux Publics et Infrastructures et une salle de réunion et ceci sans aucune aide extérieure. Nous espérons qu’avec cette organisation, les services de l’Etat de Djolu vont réellement travailler pour le bien être de la population
48 ans après l’indépendance, seulement un bâtiment vraiment réhabilité et bientôt l’Education Nationale aura un Bureau, déjà construit, mais que les chaumes seront remplacées en tôle dans un bref délai.
Félicitations à l’Administrateur de Territoire et le Responsable de l’Education Nationale à Djolu Monsieur Louis Gérard LOKESA qui démontrent qu’avec un peu de volonté on peut faire des grandes réalisations. Ce n’est qu’un début nous les encourageons de faire encore plus et à leurs hiérarchies respectives de les assister dans ceux qu’ils font.
02/05/08
Novità da Djolu
Dalle pagine di questo blog ci aggiornerà sulla situazione di Djolu. Seguono già i primi post sulla situazione sanitaria e una misteriosa epidemia negli allevamenti di suini...
Grazie a Roger
EPIDEMIA DECIMA GLI ALLEVAMENTI SUINI
Nessuna misura è stata presta da parte delle autorità statali, nessun risarcimento è stato garantito alla popolazione allevatrice, già alle prese con numerosi problemi (pagamento delle tasse scolastiche per garantire l'accesso a scuola dei figli, pagamento di diverse tasse statali etc.).
Le autorità locali (l'Amministratore del Territorio e il Medico direttore della Zona di Santé) hanno lanciato invano un SOS alle rispettive gerarchie. L'unica misura adottata è stato il divieto imposto alla popolazione di consumare la carne degli animali deceduti. Questo divieto non è stato ascoltato, la popolazione è arrivata ad uscire la notte per dissotterrare gli animali e prenderne la carne.
Fino ad ora le cause di questa epidemia sono sconosciute, non è stata avviata nessuna inchiesta e non si conoscono le conseguenze che possono ricadere sulla salute della popolazione, soprattutto di coloro che hanno consumato la carne degli animali malati.
LA SALUTE A DJOLU
Dopo la partenza di MSF-Belgio dalla zona di Santé nel dicembre 2005, la situazione è divenuta disastrosa (la copertura sanitaria garantita attraverso MSF variava tra il 30 e il 40%).
I redditi della popolazione non permettono l'accesso alle cure mediche.
La sfortuna non viene mai da sola, si dice.. a questa situazione catastrofica, si aggiunge un tasso di HIV positivi molto alto. E' passato dal 16% nel 2006 al 39% nel 2007 nella sola Zona di Santé di Djolu, con una popolazione di meno di 161 500 abitanti (su una popolazione totale del Territorio di 250 000)
Nella ZS di Djolu l'analisi si fa solo in due strutture (Ospedale di DJ e Centro di Santè di Yoseki), solo per i casi di trasfusione.
Molti casi sospetti sono segnalati nella ZS ma non esistono strutture che effettuano le analisi. La popolazione vive nell'ignoranza rispetto a questa pandemia, non esiste nessuna struttura permanente che si occupi perlomeno della sensibilizzazione e dell'informazione.
Diversi programmi di lotta contro l'AIDS esistono nel Paese, soprattutto nelle città (come Mbandaka capoluogo della Provincia). Ma questi programmi non sono attivi nelle zone rurali, come se qui l'AIDS non esistesse e non mietesse le sue vittime.
E' molto triste perché questo flagello nei villaggi è vissuto ancora come un mito e decima la popolazione, soprattutto giovani... incredibilmente i decessi dovuti all'AIDS sono spesso attribuiti alla magia nera.
L’ELEVAGE DES PORCS DECIMES A DJOLU
Les autorités locales (Administrateur de Territoire, le Médecin chef de zone de santé) ont lancé en vain un S.O.S au niveau leurs hiérarchies respectives. Une mesure conservatoire avait été prise empêchant les personnes de consommer la viande des pors succombés, mais celle-ci n’était pas suivie car la même population partait la nuit les déterrer pour manger.
Jusqu’à présent les causes de cette épidémie ne sont pas connues, aucune recherche n’a été entreprise et on ne sait pas encore les conséquences sur la santé de cette pauvre population qui a bien consommé la viande.
30/04/08
LA SANTE A DJOLU
Le malheur ne vient jamais seul dit-on, il s’ajoute à cette situation catastrophique le taux de sérologique HIV+ très élevé. Il est passé de 16% en 2006 à 39% en 2007 dans la zone de santé de Djolu seulement pour une population d’au moins 161500 habitants sur plus de 250000 habitants que compte le Territoire de Djolu. Pour la ZS Djolu le dépistage se fait seulement dans deux structures (l’HGR Djolu et le CSR YOSEKI) uniquement pour des cas de transfusion sanguine.
Plusieurs cas suspects sont signalés dans la zone de santé, aucun centre de dépistage n’existe. La population vie dans l’ignorance totale face à cette pandémie, il n’existe aucune structure permanente qui s’occupe ne serait ce que de la sensibilisation.
Plusieurs programmes de lutte contre le Sida existent à travers le Pays surtout dans les villes (MBANDAKA,…), mais ces programmes ne sont pas visibles dans les zones de santé rurale, comme si le SIDA n’est pas dans les milieux ruraux et ne tue pas. C’est triste car ce fléau du siècle est encore un mythe aux villages et décime la population surtout les jeunes malheureusement les décès causé par le SIDA sont attribués aux sorciers.